Hello les couscous !
J’espère que vous allez bien et que vous survivez avec ce changement de température. Pour ma part, je crois que mon corps est pas trop d’accord de passer de 30 à -10 degrés et de remonter à 20. ALORS YE SOUI MALADE.
Oui, je sais, on s’en fout.
Je vous propose le huitième article de notre voyage, après celui-ci, il n’en restera plus qu’un. Car, oui, je sais que je vous saoule avec tous ces articles mais j’avais fait un vote sur Twitter et vous avez voté pour votre mort. ALORS BON.
Lors de notre huitième jour en Grèce, nous avons visité le site de Delphes. Alors promis, je vais reprendre tous mes articles depuis le début et vous mettre des cartes avec les endroits et les routes que nous avons prises. Je sais que vous donner des lieux sans les représenter, c’est pas très parlant et pas super fun. Je vous le promets, je vais me rattraper.
Pour commencer, nous avons passé la nuit au Nidimos Hotel. Très bon hôtel en terme de qualité/prix. Le personnel était adorable et la chambre très jolie.
Nous avons pris le petit-déjeuner à l’hôtel et il me semble que c’est le seul petit-déjeuner correct que nous ayons pris durant tout le séjour. Il était vraiment sympa. Des fruits frais et secs étaient à disposition. Il y avait des viennoiseries mais également des produits salés.
Après avoir englouti le petit-déjeuner, direction le site archéologique. Comme d’habitude, c’est gratuit pour les étudiants de l’UE et 12 euros en plein tarif.
Le site archéologique est vraiment magnifique et très sympa à faire. N’oubliez pas une bouteille d’eau et de bonnes chaussures car mine de rien, le soleil tape assez fort.
Petit point culture, pour ceux à qui Delphes ne dit rien du tout :
Delphes était l’un des plus grands sanctuaires de la Grèce antique. Le sanctuaire était dédié au dieu Apollon — dieu des arts, de la musique etc. Dans ce sanctuaire, on venait poser des questions à une prêtresse — la Pythie — qui rendait des oracles, c’est-à-dire des « réponses » d’Apollon.
Dans ce sanctuaire, nous pouvons retrouver le temple d’Apollon :
Le trésor des Athéniens :
Le stade :
Le stade est impressionnant. Il faut se remettre dans le contexte, ils ont construit ce stade sur le flanc d’une montagne. Ils ont aplani le terrain pour pouvoir y construire. À l’époque, il n’avait pas de gros tracteurs, alors du coup, chapeau !
Je vous laisse admirer la vue. C’est juste tellement paisible.
Nous avons continué notre visite au Musée. J’ai pu voir mes copains Cléobis et Biton et l’Aurige. Ils étaient beaux comme des camions.
Quand je vois les bêtises que j’écris dans mes articles, je pense à mes profs d’histoire de l’art qui, en cours, nous mettent en garde contre les blogs « de monsieur tout le monde ». Ces messieurs tout le monde qui écrivent les choses tellement bien que même les plus grosses erreurs passent comme une lettre à la poste. Ces messieurs tout le monde dont il faut vérifier l’identité. Bon, au moins sur mon blog, impossible de me confondre avec une personne intelligente.
PS : je dis peut-être des bêtises mais lors de mes voyages, je photographie pas mal de choses donc si toi, étudiant, tu as besoin d’une photo, tente ta chance, demande-la en commentaire et je te recontacte si je l’ai !
Je vous épargne toutes mes photos du musée, si vous avez besoin d’une œuvre, comme je l’ai dit plus haut, si je l’ai photographiée, je serai ravie de vous partager la photo. Elles sont en général de bonne qualité.
Après la fin du musée, nous avons mangé une pita à Souvlaki Gyros Pita — qui porte bien son nom — puis nous sommes repartis sur la route, direction Athènes ! Il faisait beau et la route était magnifique. Que demander de plus ?
Bon, ma première rencontre avec Athènes s’est très mal déroulée. Nous sommes rentrés dans Athènes en voiture. FOLIE PURE. J’étais en pleine crise d’angoisse. Les athéniens — enfin les grecs en général — et le code de la route, ça fait 157 436. Bon, en campagne, les grecs te doublent. Tu en vois pas pendant 45 minutes. Ils sont un peu dangereux dans les rond-points mais ça va.
Les athéniens, ça double par la droite, par la gauche, hop et un petit piéton grec sauvage apparaît alors que t’essaies d’éviter à la fois les scooters à droite et à gauche et la voiture qui change de voie sans JAMAIS METTRE CE PUTAIN DE CLIGNOTANT. Bref, ajoutez à ça une ville étroite, sans stationnement, relativement sombre et bondée de monde : L’ANGOISSE TOTALE.
Une fois garés — et après avoir enfin soufflé de n’avoir tués personne — nous sommes partis à la recherche d’un petit endroit réputé pour ses Loukoums : Lukumades. C’était bon, super cher, mais bon.
Nous avons ensuite shoppingé pour ramener des petits souvenirs, nous avons mangé des nouilles chinoises chez Noodle Bar et nous sommes rentrés faire de jolis rêves.
J’espère que cet article vous aura plu, je vous embrasse et je vous dis à demain pour la dernière journée en Grèce — oui, enfin 😛 !
le site archéologique fait immense en photos, alors qu’est-ce que ça devait être en vrai… Très jolies photos comme d’habitude !
Je te fais plein de poutoux ♥